Vous souhaitez accueillir l’exposition Vénus Vagabonde ?

Cazé&Cazé vous accompagnent tout au long du projet. Pour toute information, contactez-nous.

1 Définir le périmètre de l’exposition

Plusieurs formes d’exposition sont possibles :

• un parcours linéaire d’un point A à un point B, ou en boucle,
• l’installation dans un espace clos (parc, jardin…)
• l’utilisation d’un édifice comme support d’exposition.

L’exposition se prête bien aux cheminements piétons. Penser également à l’accessibilité (personnes en situation de handicap, parents avec poussettes).

2 Choisir les emplacements

Les sculptures doivent être visibles sans être accessibles afin d’éviter les dégradations ou le vol. La hauteur idéale est entre 4 et 6 mètres. Les sculptures peuvent prendre place :

• sur des bâtiments (corniches, fenêtres, niches, avancées de toit, pergola…),
• sur du mobilier urbain (luminaires, poteaux, etc.)
• dans des arbres

3 Demander les autorisations

Lorsque l’accrochage n’est pas réalisé sur des biens de propriété municipale, une autorisation est à demander aux propriétaires.

4 Installer les sculptures

Dans le plupart des cas, Cazé&Cazé installent eux-mêmes les sculptures. L’installation est soignée, afin de ne pas dégrader les supports (bâtiments ou mobilier urbain). Sur les surfaces fragiles, un adhésif est placé sous le point de colle afin d’éviter toute tache. Des petits cartons indiquant le nom de l’œuvre sont placés sous chaque œuvre.

5 Accueil en résidence

Le projet d’exposition peut être co-construit avec les acteurs locaux (associations, établissements scolaires, centres de loisir…) dans le cadre d’une résidence artistique ou d’une classe à PAC.

Sécurité des personnes

Les Vénus pèsent chacune environ 160g. Elles sont réalisées dans un matériau très léger, qui ne présente aucun danger. Les Vénus sont positionnées dans des endroits inaccessibles ; il faut une échelle pour les atteindre.

Respect des supports

Les Vénus sont fixées avec de la colle défixable. Quand le support est de type « fragile », nous le protégeons avec un adhésif et plaçons la colle sur l’adhésif. C’est le cas du mobilier urbain. Les cartels (petits cartons indiquant le nom de l’œuvre), sont réalisés en papier et collés à la colle à tapisserie ou avec du ruban adhésif. A l’issue de l’exposition, nous restituons les lieux dans leur état d’origine, sans aucune altération.